jeudi 25 octobre 2012

INTERLUDE #47 : Douce folie. Vibrante liberté.

Être à l'affût, c'est être vivant.  La sensibilité est réellement la porte qui s'ouvre sur soi et dont le panorama nous heurte inévitablement.  Vue sur soi.


INTERLUDE #46: L'attente

Parce que des fois, c'est dans l'attente que la valeur d'un événement prend tout son sens.


Eagle in the dark
Feathers in the pages
Monkeys in my heart
Are rattleing their cages
Found a way to blue
Another ghost to follow
Said it's only up to you
It's the hardest pill to swallow

mercredi 17 octobre 2012

INTERLUDE #45 : Enfin....

Y a des moments importants, des carrefours qui se transforment en tremplin.

Aujourd'hui, c'est un de ces jours.


INTERLUDE #44 : Parce que les espoirs doivent toujours voler le plus haut possible.

(...)


The grass was greener
The light was brighter
The taste was sweeter
The nights of wonder
With friends surrounded
The dawn mist glowing
The water flowing
The endless river


Forever and ever

INTERLUDE #43 : Un temps pour chaque chose.

Parce qu'il faut que tout prenne une place, sa place.
Parce qu'il n'est pas toujours le temps d'y voir clair.
Parce que des fois, le silence fait tout le vacarme.


"Fools", said I, "You do not know
Silence like a cancer grows
Hear my words that I might teach you
Take my arms that I might reach you"
But my words, like silent raindrops fell
And echoed
In the wells of silence

dimanche 14 octobre 2012

INTERLUDE #42: Terminus.

Dans la vie, on  constate que l'on vieillit petit à petit.  Des fois si lentement que le voyage à peine commencé nous nous retrouvons au Terminus.



Linoléum

Paroles et musique : Steve Dumas.
2003
Éditions Tacca / Éditions de La Tribu

Rhabille-toi il n'y a plus personne
Ferme ces yeux qui me questionnent
Je vais vider les cendriers
Rhabille-toi il n'y a plus personne

Je te ferai signe quand je trouverai ma vérité
Rien ne sert de m'appeler
Il n'y a plus personne
J'ai coupé le téléphone

Sur le linoléum
Tu ne vois pas que je suis paumé ?
J'ai envie de partir si loin
Je te ferai rater le train

Je te ferai signe quand je trouverai ma vérité
Rien ne sert de m'appeler
Il n'y a plus personne
J'ai coupé le téléphone

À croire au destin des hommes
Sur le linoléum
Ma vie suit son cours
Mais le temps use ton sourire

Je te ferai signe quand je trouverai ma vérité
Rien ne sert de m'appeler
Il n'y a plus personne
J'ai coupé le téléphone

Nos aventures échouées
Sur le linoléum
Sur le linoléum
Sur le linoléum
Sur le linoléum

Je te ferai signe quand je trouverai ma vérité
Rien ne sert de m'appeler
Il n'y a plus personne
J'ai coupé le téléphone

Je te ferai signe quand je trouverai ma vérité
Rien ne sert de m'appeler
Il n'y a plus personne
J'ai coupé le téléphone

Linoléum

INTERLUDE #41: Hivernisons tranquillement.

Côlisse qui fait frette.   J'étais tellement sur les pines en me levant ce matin que j'aurais crevé un oeil à mon camelot.

Mais s'hiverniser, c'est entrer dans sa bulle et moi je m'apprête à en sortir.  Éclore.  Et clore.



When you gonna make up your mind
When you gonna love you as much as I do
When you gonna make up your mind
Cause things are gonna change so fast
All the white horses are still in bed
I tell you that I'll always want you near
You say that things change my dear

INTERLUDE #40: Le sentiment d'être chez soi.

À vivre dans mes valises sous le joug d'un agenda depuis quelques temps, je réalise que j'aime être chez moi plus qu'avant.  La vie et la dernière année aura eu ça de bon...


Another winter day has come
And gone away
In even Paris and Rome
And I wanna go home
Let me go home

And I’m surrounded by

A million people I
Still feel all alone
Oh, let me go home.

jeudi 11 octobre 2012

INTERLUDE #39: Surtout pas de panique.

Une chose à la fois est la meilleure façon de réussir je crois.  Il faut prendre le taureau par les cornes certes, mais encore faut-il être dans l'enclos...  Vous ne pensez pas?


L’intensité se moque, se moque
De la quantité

Pas facile en ce monde bionique,

D’avoir l’impression de prendre son temps
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents

INTERLUDE #38: A little earthquake

Hier soir, il semblerait que la terre a tremblé là où je me trouvais.
Pour moi, ce sont mes schèmes qui ont le plus été ébranlés hier, ceux de l'amitié.
Dead man walking ...


Yellow bird flying
Gets shot in the wing
Good year for hunter
And Christmas parties
And I hate and I hate
And I hate and I hate
Elevator music
The way we fight
The way I'm left here silent

mardi 9 octobre 2012

INTERLUDE #37 : Une dose d'urbanité

Lever tôt. Le soleil levant sur la métropole.  Le vent de St-Denis.
Les odeurs de la 197.  Le panorama de Rosemont.
L'errance...


J'en oublie mes romances, mes amours
Mes humeurs, mes absences
Je croise des passantes anonymes
J'aimerais bien les toucher
Mais je ne saurais quoi leur dire
Je préfère les fuir


Read more: http://artists.letssingit.com/dumas-lyrics-jerre-qng6twj#ixzz28qyBAi1I
LetsSingIt - Your favorite Music Community 

lundi 8 octobre 2012

INTERLUDE #36 : Émotions de l'Action de Grâce!

Aujourd'hui, je me sens artiste.  Sensible à tout ce qui m'entoure. 
J'écoute ce que je vois.  Je vois ce que je sens. 


ELLE ÉCOUTE POUSSER LES FLEURS
(Paroles et Musique: Francis Cabrel   1980)
Francis Cabrel (France)


Elle écoute pousser les fleurs
Au milieu du bruit des moteurs
Avec de l'eau de pluie
Et du parfum d'encens
Elle voyage de temps en temps
Elle n'a jamais rien entendu
Des chiens qui aboient dans la rue
Elle fait du pain doré
Tous les jours à quatre heures
Elle mène sa vie en couleur
 
Elle collectionne
Les odeurs de l'automne
Et les brindilles de bois mort
Quand l'hiver arrive
Elle ferme ses livres
Et puis doucement
Elle s'endort sur des tapis de laine
Au milieu des poupées indiennes
Sur les ailes en duvet
De ses deux pigeons blancs
Jusqu'aux premiers jours du printemps 
 
Elle dit qu'elle va faire
Le tour de la Terre
Et qu'elle sera rentrée pour dîner
Mais les instants fragiles
Et les mots inutiles
Elle sait tout cela
Quand elle écoute pousser les fleurs
Au milieu du bruit des moteurs
Quand les autres s'emportent
Quand j'arrive à m'enfuir
C'est chez elle que je vais dormir
Et c'est vrai que j'ai peur de lui faire un enfant..

INTERLUDE #35 : Briller, c'est la clef.

Parce que des fois, la clef c'est de briller.  Pour soi d'abord, mais aussi pour les autres.

Je retrouve ce soir des mecs qui m'ont permis d'avancer.  Long time no see Brian! :)


I can see the frown you wear
All around like some faded crown
Like a watch over wound
Gonna call down to this diamond
buried underground
Gonna pull you up
by your love, by your love
and tell you



INTERLUDE #34 : Parce que des fois, on se sent comme ça!

Oh qu'aujourd'hui je voudrais me réincarner en lycra.  Suave et collant.


Laisse monter le plaisir
Il n’y a pas d’indécence
Juste un rythme roi
Pour mieux t’appartenir
Je n’ai pas de distance
Je n’ai pas de tabou


CAN I SAY SOMETHING MORE OBVIOUS DUDE ;-P

INTERLUDE #33 : Si la science pouvait ce que le coeur voudrait.

Vous le savez je pense, après 32 interludes, je suis un nostalgique.  Glee m'a fait réouvrir une vielle blessure ce soir, blessure que je chéris, ne vous méprenez pas.  Je la chéris puisqu'elle me rappelle.


I was just guessing at numbers and figures
Pulling your puzzles apart
Questions of science; science and progress
Do not speak as loud as my heart


et pour les amoureux de l'originale.

INTERLUDE #32 : Quétainnerie du jour.

J'adore et j'assume.


J'aime cette fille sur talons aiguilles qui se déhanche ...
Ça met un peu de chaleur au fond de mon coeur.

INTERLUDE #31 : Papounet, un samedi après-midi

Relans d'une adolescence de découvertes.  Du celtique mélangé aux effluves du Hertel.

Parce que maintenant je fais mon ménage en musique.



But the sea is wide, and I can't swim over
Neither have I wings to fly
If I could find me a handsome boatman
To ferry me over to my love and die.

INTERLUDE #30 : Hymne des années 2000

Broadway.   Il y a 5 ans.
Limoilou.  Aujourd'hui.
Comme quoi le temps passe laissant dans son sillage les odeurs guerrières du passé.


Did you try to live on your own  
When you burned down the house and home?  
Did you stand too close to the fire 
Like a liar looking for forgiveness from a stone?

INTERLUDE #29 : Le fils de l'autre a aussi beaucoup de talent.

Découverte du jour : Adam Cohen.


I don't wanna, I don't wanna be like them
Those other men
Whatever came before me, well that was then
I'll be better than, those other men

et une reprise qu'il faut savourer en boucles ... on and on and on

INTERLUDU #28 : Souvenirs de jeunesse

Cette chanson, elle sent le pain au fromage et la saucisse aux tomates.  Ça sent les algues de les algues de la MIL Davie.  Ça sent Lauzon.


Pendant que les champs brûlent
J´attends que mes larmes viennent,
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m´atteigne...

INTERLUDE #27 : Adele des premiers jours

J'aime quand un artiste que j'écoute depuis des mois devient populaire.  Comme si la vie me disait :"Ouain, tu as du flair!".

Ce fut le cas avec Ricky Martin (35$ en 1996 pour un disque de Menudos), Damien Rice et ... Adele avec son 19.


But if I tell the world, I'll never say enough  
'Cause it was not said to you  
And that's exactly what I need to do if I'd end up with you

dimanche 7 octobre 2012

INTERLUDE #26 : Smile, tout simplement.

À quoi bon se casser la tête des fois ... souris et profites de ce qui arrivera en retour.


That's the time you must keep on trying 
Smile, what's the use of crying.  
You'll find that life is still worthwhile
If you just smile

INTERLUDE #25 : Juste pour prendre une pause

Des fois, on fait du rattrapage dans la vie.  Des fois on fonce tête baissée tandis que d'autres fois, on prend le temps de s'abandonner.  Mais toujours la vie continue...


I'll top the bill!
I'll overkill!
I have to find the will to carry on!
On with the show!
On with the show!

The Show must go on.